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L’adjectif qualificatif épithète ; antéposé ou postposé ?(Approche syntaxique) :-Le cas des étudiants de la 4éme année de licence de français Université Ferhat Abbas Sétif (université setif1)

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dc.contributor.author Khatab, Nadji
dc.date.accessioned 2015-03-11T13:06:04Z
dc.date.available 2015-03-11T13:06:04Z
dc.date.issued 2009
dc.identifier.uri http://hdl.handle.net/setif2/99
dc.description.abstract La place de l’adjectif qualificatif épithète par rapport au nom est une question considérablement complexe, de sorte que les grammairiens font de ce problème un thème privilégié de recherche. Nous avons voulu, en entamant une telle tentative de recherche, rendre compte du placement de cette partie de discours par rapport au nom. Les objectifs étaient loin d’être une proposition d’une solution globale ou d’élaborer une contribution à ce que les spécialistes de syntaxe française ont préalablement raffiné. Pour ce faire, nous avons fait appel à trois disciplines différentes : la syntaxe, la morphologie et la sémantique. La place d’une épithète à l’intérieur de l’énoncé ne serait plus gouvernée seulement par des facteurs syntaxiques. D’autres contraintes pourraient y intervenir pour délimiter cette place (distribution), entre autres des facteurs morphologiques (dérivé/non-dérivé), phonétiques (court / long) ou sémantiques (place AVNAT/APRES et effets de sens). Nous sommes alors parti de quelques modèles de distribution pour arriver à vérifier, chez des apprenants en F.L.E, le placement proprement dit. Suivant une démarche analytique, nous avons tenté de mettre en lumière, selon les cas de constructions phrastiques recensés ou proposés (productions écrites et activité proposée), les différentes contraintes distributionnelles gouvernant un placement approprié et adéquat de l’adjectif épithète. Deux hypothèses ont été émises au départ. La première consiste à éclaircir les contraintes dont nous parlons ci-dessus. La seconde cherche à vérifier, chez des apprenants dont le français est langue étrangère, si le taux excessif de la postposition de l’adjectif serait une forme d’une interférence syntaxique : la place de l’épithète en arabe est toujours après (c’est le cas inverse dans les langues germaniques). Néanmoins, nous ne sommes pas parvenu à vérifier cette deuxième hypothèse pour trois fortes raisons : - la représentativité du corpus et la fiabilité des résultats. - Les outils d’analyse mis en œuvre pour la vérification de l’hypothèse. - La tendance de la postposition de l’adjectif en français contemporain. Pour ces raisons, il aurait fallu opter pour d’autres moyens et pistes qui se veulent efficaces afin d’établir une vérification convaincante. Il serait également nécessaire de signaler quelques difficultés rencontrées tout au long de l’élaboration de cet humble essai. Nous les résumons dans les points ci-dessous : a) La représentativité du corpus choisi. b) La fiabilité des résultats obtenus. c) L’absence d’une documentation spécialisée. d) Une terminologie spécifique au domaine d’étude du présent mémoire. Que la présente recherche soit une véritable étape d’apprentissage de maintes techniques de méthodologie de travail en général, plus particulièrement en syntaxe. en_US
dc.subject L’adjectif qualificatif épithète, antéposé ou postposé ?(Approche syntaxique) en_US
dc.title L’adjectif qualificatif épithète ; antéposé ou postposé ?(Approche syntaxique) :-Le cas des étudiants de la 4éme année de licence de français Université Ferhat Abbas Sétif (université setif1) en_US
dc.type Thesis en_US


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