Boudersa, Leulmi2021-12-072021-12-072008-12-30https://dspace.univ-setif2.dz/handle/123456789/1992L’école algérienne est devenue plus au moins imprégnée de la culture du handicap. La plupart des gestionnaires des établissements éducatifs et des enseignants disposant à l’heure actuelle d’un ensemble de savoir et de savoir-faire leur permettant de comprendre la nature du handicap, son étiologie, ses incidences sue les différents secteurs de la personnalité, les structures d’accueil ainsi que les stratégies éducatives qui sont généralement appliquées pour permettre à ces sujets d’accéder au même titre que les individus « dits normaux » aux savoirs scientifique, techniques et culturels et artistiques. Cette culture a été intériorisée par cette institution ou par ses acteurs essentiels suite à la politique sociale qui a été initiée au sein de notre pays depuis les années 80 en faveur des personnes handicapé. Seulement, nous relevons et avec beaucoup de regret, que cette institution demeure encore silencieuse vis-à-vis des enfants surdoués. Elle ne parle pas d’eux. Elle ne dispose pas un système de reconnaissance. Elle ne forme pas les enseignants à la stratégie éducative susceptible d’aider ces jeunes à réaliser leur potentiel. Cette carence nous a incité à élaborer cette réflexion dans laquelle nous allons mettre en évidence les mesures qui méritent d’être promues au niveau de notre école pour promouvoir une véritable culture de la surdouance qui offre la possibilité à ces enfants « pas comme les autres » de se réaliser pleinement tant sur le intellectuel, affectif, social et culturel.frl’école algérienne - la culture du handicap -la culture de la surdouanceL’école Algérienne : De La Culture Du Handicap à La Culture De La SurdouanceArticle