H, HemissiN., Garar2022-03-142022-03-142009-12-30https://dspace.univ-setif2.dz/handle/123456789/2007Les sciences humaines se sont toujours trouvées plus proches de certaines disciplines telles que pédagogie, didactique et psychologie. Ces disciplines sont considérées comme fondements et outils de travail indivisibles des sciences humaines. Pour les sciences exactes cette relation est souvent imprécise, inconnue et parfois même occultée. Le caractère exactes de ces sciences justifie pour plusieurs le fait de reléguer au second plan la dimension humaine de l’apprentissage. Une logique binaire s’installe souvent : soit qu’on comprend le phénomène sot qu’on le comprend pas, soit qu’on sait dériver une relation entre les paramètres d’une expérience soit qu’on le sait pas. Un fait important se révèle omniprésent : la dimension humaine est indissociable du processus d’apprentissage. La question importante qui nous préoccupe est la suivante : existe-t-il des mécanismes de réflexion particuliers capables de stimuler un sens de l’observation, des liens logiques et de la déduction. Est-il possible de voir dans une relation mathématique abstraite une construction logique et humaine. Nous essayerons de traiter dans ces articles deux exemples importants : la relativité des lois de physique (étude sur terrain) et l’utilisation de l’analogie en électricité. Nous établirons a travers ces deux exemples la conception propre de l’apprenant du contenu scientifique de la physique. Nous viendrons enfin à la conclusion que le développement des sciences en tant que contenu a autant d’importance que la réflexion sur le processus humains d’appréhension de ces sciencesfrDIALECTISATION -DIDUCTION SCIENTIFIQUE-SCIENCES EXACTESArticle